Notre-Dame-d’Auteuil

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Notre-Dame-d’Auteuil

Place de l’Eglise-d’Auteuil
Chapelle Sainte-Bernadette; 4 rue d’Auteuil

75016 Paris
Métro Eglise d’Auteuil

Visite ACF : 01 53 92 26 26

www.notredamedauteuil.fr

Niché au milieu des prés et des vignes, le village d’Auteuil1 réputé pour sa source est érigé en paroisse dès le 11e siècle.
L’abbaye de Sainte-Geneviève à Paris y installe, au 14e siècle, une maison de repos pour ses chanoines malades et construit une nouvelle église. Epargné par la guerre de Cent Ans et la peste noire2, il est un refuge pour beaucoup de protestants lors du massacre de la Saint-Barthélemy3, en 1572.

le projet de l’église avec une coupole hémisphérique initialement prévue à la croisée du transept, le porche et son trumeau aujourd’hui supprimé.

En 1790, à la Révolution, Auteuil devient une commune, avec les hameaux du Point-du-Jour et de Billancourt.
Le charme de ce village, les bienfaits de sa cure et de ses eaux, attirent des noms du monde littéraire, scientifique, politique4.Lorsqu’Auteuil est rattaché à Paris en 1860, arrivent des parisiens fortunés. L’église ne pouvant accueillir les fidèles, est alors remplacée entre 1877 et 1892 par l’édifice actuel construit par Joseph-Emile Vaudremer5, l’architecte de l’église Saint-Pierre de Montrouge achevée en 1872.

Tympan
la Vierge du trumeau qui soutenait le tympan du portail, a été replacée à cet endroit en 1988.

A l’extérieur, l’église se dresse au début de la principale artère de l’ancien village, la rue d’Auteuil, et au bord de la pente descendant vers la Seine. Le curieux clocher à bulbes fuselés culminant à 50 mètres, annonce son style romano-byzantin. Cinq cloches sonnent les heures et les quarts, présence de l’Eglise dans le quartier.
A l’entrée du porche : une Vierge à l’Enfant. Au-dessus, sur le linteau qui soutient le tympan, la croix et le pampre illustrent ce verset de l’Évangile : Je suis la vigne ; vous êtes les sarments Jn 15, 5. Le Christ, figuré en majesté dans une mandorle6, bénit de sa main droite et tient le livre de la Parole sur son genou gauche.
De part et d’autre, les symboles des évangélistes7 : en haut, l’ange et l’aigle pour Matthieu et Jean ; en bas, le lion et le taureau pour Marc et Luc. Henri-Charles Maniglier8 est l’auteur de ces œuvres.

vue de la nef, en attente de sa restauration
détail du vitrail de la chapelle axiale (l’Immaculée Conception)
le Pantocrator. La franchise du trait et une certaine douceur dans le regard du Christ donnent force au symbole de cette représentation et la distingue de celle de Saint-Pierre de Montrouge ou de celle de la cathédrale orthodoxe SaintEtienne, églises construites par Vaudremer.

A l’intérieur, de hauts piliers de section cruciforme séparent la nef des bas-côtés. Une succession de coupoles ornées d’une croix épatée couvre le vaisseau central.
Le sobre décor de l’église s’inspire de l’art romano-byzantin comme à Saint-Pierre de Montrouge : effets de tentures sur les murs, joints des pierres soulignés de rouge, vitraux à motifs géométriques9chemin en mosaïque10 vers l’autel.
La nef est prolongée en gradins par le chœur et la chapelle axiale, l’un et l’autre surélevés par la crypte, favorisant la visibilité de l’autel.
Sur le cul-de-four de l’abside , le Pantocrator occupe tout l’espace curviligne et doré. Il est vêtu de blanc et tient le Livre ouvert où la première et la dernière des lettres de l’alphabet grec, A [alpha] et Ω [oméga], sont écrites en capitales Ap 1, 8. Cette peinture monumentale — la seule de l’église — attire
le regard vers l’Est, le point où le soleil se lève, symbole du Christ sauveur pour les chrétiens. Elle est l’œuvre d’Henri-Eugène Compan11.
Les vitraux de J.-E. Roussel12, les seuls historiés de l’église, illustrent les grands moments de la vie de la Vierge.
En reconnaissance de sa protection lors les bombardements de 1918, la paroisse a installé en 1919, au-dessus de l’autel, la statue de Notre-Dame-du-Vœu.

le Christ de Kaeppelin sur une croix dessinée par Raymond Busse
porte du tabernacle de l’ancien autel
Mater Dolorosa de 1870, présentée dans la chapelle de gauche du transept, plâtre patiné de Carpeaux qui a habité sur le territoire de la paroisse

A la croisée du transept, la coupole surplombait une haute clôture de colonnettes en marbre blanc, à laquelle était adossé l’autel, supprimés en 196313 pour ouvrir le chœur aux fidèles. Le soubassement servant de banc liturgique et les deux ambons de pierre encadrant la volée de marches, ont été conservés. L’autel actuel — œuvre de Philippe Kaeppelin14 comme le Christ de la croix — a été placé en 1967 au centre et dans l’axe de la coupole ainsi que Vaudremer l’avait prévu à l’origine.  En plomb repoussé recouvert de feuilles d’or, il fait écho au Christ de l’abside tandis que sa forme et les séraphins qui l’ornent, rappellent l’Arche d’Alliance15. Les chapelles du transept sont ornées de bronzes dorés de Charles Gauthier16.  A gauche : une scène inspirée de la dévotion au Sacré-Cœur avec Marguerite-Marie Alacoque17 et Mgr Guibert18, présentant la maquette de la basilique de Montmartre au Christ. A droite : saint Joseph et Jésus enfant avec deux anges.

Au début du bas-côté sud, près du Monument aux Morts des deux grandes guerres, dans la chapelle Saint-Michel, aujourd’hui Chapelle des Morts, la paroisse se souvient des personnes dont les obsèques ont été célébrées dans l’année. A gauche, la statue de Mgr Lamazou19, enterré ici au pied de l’autel.

A l’entrée de la nef, l’orgue construit par Aristide Cavaillé-Coll20 est un des plus remarquables de Paris. Inauguré en 1884 par Charles Widor, organiste à Saint-Sulpice, cet orgue romantique a été de nouveau relevé en 2017. Il permet de jouer tous les registres, d’inviter de grands interprètes et d’organiser tous les ans un festival apprécié.

messe de saint Grégoire (détail)

Vaudremer a exploité la déclivité du terrain pour installer la crypte, sous le chevet, disposition reprise des premières basiliques paléochrétiennes.

La crypte est un lieu recueilli et dépouillé dans lequel on descend depuis le transept ou la rue Corot. Dans le chœur en cul-de-four, l’autel et l’ambon sont ornés depuis 2017 par des bas-reliefs en applique d’Antoine Ropars21 : le Tétramorphe et le Chrisme22 qui font écho au tympan et au Pantocrator de la chapelle axiale de l’église. De part et d’autre : un moulage d’une Vierge du 17e siècle de l’ancienne église et un fragment de retable [fin 16e siècle ?] représentant la messe de saint Grégoire le Grand23. Sur les murs, les reliefs en terre cuite d’Hélène de Laage24 invitent à méditer les mystères du Rosaire. 

le chœur de la crypte

Notre-Dame d’Auteuil rayonne comme une église de village dans ce quartier doté de nombreux établissements scolaires et hospitaliers. Elle est ouverte à tous, notamment par ses initiatives sociales et caritatives25. A la fin du 20e siècle, au lieu d’agrandir à nouveau l’église, le diocèse a érigé les paroisses Sainte-Jeanne-de-Chantal en 1936 et Saint-François de Molitor en 1996 sur le territoire de l’ancien village.

Pantocrator
Cathédrale orthodoxe grecque
Saint-Pierre de Montrouge

Le Christ pantocrator

La représentation du pantocrator dans l’art montre le Christ glorieux à la fin des temps, après le jugement dernier, dans ses deux natures, humaine et divine, indissociablement unies. Le Christ apparaît en buste, dans une lumière sans ombre, avec une auréole et des symboles : les lettres grecques α [alpha] et ω [oméga], le livre [la Bible], le geste bénissant de la main droite [index et majeur dressés, les trois autres repliés].

Il est difficile de déterminer l’apparition de cette image en raison de la fragilité des œuvres et de la disparition de certains monuments. L’icône du monastère Sainte-Catherine du Sinaï, écrite à la cire dans la première moitié du 6e siècle, figure parmi les plus anciens exemples parvenus jusqu’à nous. Ce thème s’est répandu dans l’art byzantin à partir du 9e siècle et dans l’art occidental au 12e siècle. Le retour aux sources romano-byzantines des églises en France au 19e siècle, lui a donné un souffle nouveau, notamment à Paris dans les trois églises construites par Vaudremer : Saint-Pierre de Montrouge [1865-1870. Place Victor-et-Hélène-Basch 75014], Notre-Dame d’Auteuil [1877-1892. Place de l’Eglise-d’Auteuil 75016], Cathédrale orthodoxe grecque [1890-1895. Rue Georges-Bizet 75116].

Chapelle Sainte-Bernadette
le parvis et la façade de la chapelle. au prmeier plan : vestige de l’ancien cimetière du village [obélisque à la mémoire de d’Aguesseau (1668-1751) chancelier de France].

Entre la construction de l’église Notre-Dame d’Auteuil et la seconde guerre mondiale, la population du quartier a presque sextuplé. C’est pourquoi la paroisse charge l’architecte Paul Hulot1 d’édifier ce second lieu de culte. Il sort de terre en 18 mois — de 1936 à 1937 — sur une parcelle enclavée entre deux immeubles haussmanniens en contrebas et en retrait de la rue d’Auteuil et est dédié à Bernadette Soubirous2 qui a été canonisée en 1933 par le Pape Pie XI3.
A l’extérieur, la chapelle, orientée au nord, s’annonce par un portique élevé en briques qui réunit les deux immeubles. Les grilles qui ferment ses trois hautes ouvertures ont été dessinées par Richard Desvallières4 et réalisées par Raymond Subes5, comme la croix qui les surmonte.
En raison du surcoût des fondations sur pilotis imposées par la nature du sol, le parvis n’a été aménagé qu’en 1953 par Raymond Busse6 avec un escalier en calcaire marbrier qui descend doucement entre deux nouvelles petites annexes.

la nef
traitement de la lumière naturelle dans la nef et les galeries latérales.
Vitraux
Décor du chœur par Joseph Mauméjean

A l’intérieur, on est surpris par les couleurs et les dimensions de la nef qui peut accueillir jusqu’à 600 fidèles. Le blanc des arcs en plein cintre descendant jusqu’au sol contraste avec le bois sombre de la charpente à rampants et plafond. La lumière naturelle ne pénètre que par les ouvertures zénithales dans les deux galeries latérales et par les 70 baies à la naissance du voûtement. Les vitraux géométriques en dalles de verre serties dans du ciment sont de Joseph Mauméjean7, auteur de cette innovation technique et économique qui donne du relief à la couleur. Le chœur plat et aveugle est habillé d’une grande fresque surlignée de mosaïque représentant Bernadette à genoux devant la Vierge dans la grotte de Massabielle à Lourdes. Détachée du mur, la silhouette de l’Immaculée Conception8 dissimule un éclairage électrique qui permet de faire briller les étoiles de son auréole et d’illuminer la scène. Joseph Mauméjean est aussi l’auteur de
cette agreste composition.

le vitrail de la façade dédié à l’Assomption de la Vierge, œuvre du maître verrier Jacques Le Chevallier.

Au-dessus de l’entrée dans la chapelle, un grand vitrail occupe la baie créée dans la façade lors de l’aménagement du parvis. Il a été commandé à Jacques Le Chevallier9 l’année suivant la proclamation du dogme de l’Assomption de la Vierge par le pape Pie XII10 le 1er novembre 1950. La Vierge, orante, regarde vers la terre. Les mains de Dieu apparaissent de part et d’autre de la couronne tandis qu’une colombe descend du ciel. Six anges se réjouissent et louent le Seigneur, ainsi que le dit l’inscription en latin au pied du vitrail. A droite et à gauche, dix des Litanies de la Vierge alternent avec leurs symboles11. 

Une station du chemin de croix

Dans les galeries latérales, quatorze triptyques sont insérés dans les murs. Ils illustrent le chemin de croix du Christ. Vêtu de blanc, celui-ci est placé au centre de chaque scène dans une vision historique de Jérusalem. C’est une œuvre d’Edmond Tapissier12.
Cette chapelle, exemple de l’architecture religieuse des années 1930, mérite qu’on s’y arrête.
Elle est en outre utilisée par la paroisse pour de nombreuses célébrations et permet d’accueillir les communautés catholiques philippine et portugaise de l’ouest parisien.



Notes (église) :
1—Territoire boisé dont les sources alimentaient Lutèce au temps des Romains.
2—1347-1352. Nom de l’épidémie qui fit des millions de morts en Europe, à l’origine du déclin de l’Empire byzantin.
3—Le 24 août 1572, jour de la saint Barthélemy, à Paris, massacre des protestants refusant d’abjurer leur foi. Plus de 1800 morts échouèrent sur la rive à Auteuil.
4—Citons, par exemple : Ninon de Lenclos, La Fontaine, Molière, Racine et Boileau (17e s.), Franklin, Turgot et Condorcet (18e s.), Chateaubriand, Victor Hugo et les frères Goncourt (19e s.). 
5—1829-1914.  Attiré par le haut Moyen Age, grand prix de Rome en1854, travaille à St-Augustin, auteur de St-Pierre de Montrouge (1863, Paris 14e), de la Cathédrale orthodoxe grecque (1895, Paris 16e) et des plans de St-Antoine-des-Quinze-Vingts (1904, Paris 12e) et également de la prison de la Santé (1885) et de nombreux édifices scolaires. 
6—De l’italien mandorla [amande]. Signifie la majesté, l’autorité et la gloire du Christ ressuscité. Ses deux doigts tendus symbolisent sa nature humaine et divine, les trois autres la Trinité.
7—Déjà attestées à Babylone et en Egypte, ces figures apparaissent dans la Bible avec la vision d’Ezéchiel (Ez 1, 1-14) et l’Apocalypse (Ap 4, 7-8).
8—1826-1901. Sculpteur auteur du St-Pierre en bronze de St-Pierre de Montrouge (Paris 14e) et d’œuvres pour des édifices publics à Paris.
9—Léon Avenet (1844-1899). Maître-verrier aussi auteur des vitraux de la cathédrale grecque orthodoxe (Paris 16e).
10—Sols incrustés de pierres de couleur. Une technique inventée par les Cosmati, mosaïstes du Latium au 11e s.
11—1841-1912. Peintre auteur de décors à Paris en particulier au théâtre du Gymnase et à l’Hôtel de Ville. Travaille avec Charles Lameire (1832-1910) pénétré d’art mural médiéval.
12—Peintre verrier actif dans la région de Beauvais dans les années 1875-1891. Auteur des vitraux de l’église adventiste de Neuilly-sur-Seine.
13—Lors du concile Vatican II (1962-1965) qui a réhabilité la messe face au peuple, la liturgie de la Parole et l’usage de la langue du pays à la place du latin.
14—1918-2011. Auteur de nombreux mobiliers liturgiques comme les autels du chœur et de la chapelle de la Vierge à la Ste-Trinité (Paris 9e) et à la cathédrale St-Louis de Versailles.
15—Les séraphins sont des anges avec deux paires d’ailes, placés sur l’Arche d’Alliance, contenant les Tables de la Loi, la manne et le bâton d’Aaron : Dieu présent au milieu de son peuple.
16—1831-1891. Sculpteur académique. A participé au décor de l’Opéra de Paris et des fontaines du Théâtre Français.
17—1646-1690. Cette dévotion s’est propagée en France après les apparitions du Christ à cette religieuse de La Visitation, à Paray-le-Monial, en 1671. 
18—1802-1886. Alors archevêque de Paris à l’origine de la basilique dite du "Vœu national" à Montmartre.
19—1828-1883. Curé bâtisseur de l’église et fondateur, en 1881, de l’école éponyme du quartier, qui accueille des classes d'inclusion scolaire.
20—1811-1899. L’un des plus importants facteurs d'orgue du 19e s. et ami de Mgr Lamazou.
21—Sculpteur et tailleur de pierre né en 1965.
22—Les deux premières lettres de Christ en grec [Χριστός] souvent associées à α [alpha] et ω [oméga].
23—540-604. Lors de la messe que ce pape célébrait à Ste-Croix-de-Jérusalem à Rome et tandis que dans l’assemblée une personne doutait de la présence réelle du Christ dans l’Hostie, le Christ est apparu sur l’autel.
24—Sculptrice née en 1930.
25—Notamment avec le Centre Corot créé en 1973 pour l’aide et le soutien des personnes exclues ou en grande précarité et des jeunes adultes sans domicile fixe à Paris.

Notes (chapelle) :
1—1876-1959. Architecte et maître d’œuvre, lauréat du concours pour l’église Saint-Michel (Paris 17e) et auteur de la nouvelle église N-D-de-Grâce de Passy (1954-1960, Paris 16e).
2—1844-1879. La Vierge lui apparaît 18 fois à Lourdes de février à juillet 1858 et la charge de révéler ce message : Je suis l’Immaculée Conception. Lourdes est aujourd’hui le troisième pèlerinage du monde.
3—1857-1939. Elu pape en 1922, il a canonisé Thérèse de Lisieux en 1925. Il est à l’origine de Radio-Vatican, inaugurée en 1931.
4—1893-1962. Ferronnier d’art, fils du peintre George Desvallières (1861-1950).
5—1891-1970. Dès 1930 ce ferronnier Art Déco, allie, le fer forgé au bronze, au cuivre et à l’acier inoxydable. On lui doit des décors à dans les églises St-Louis de Vincennes, St-Germain-des-Prés, Ste-Odile et St-Jean-Bosco (Paris 6e,17e et 20e).
6—1902-1998. Paroissien, architecte et entrepreneur.
7—1869-1952. Peintre et maître verrier des Ateliers Mauméjean (1860-1970). Collectif de maîtres-verriers et de mosaïstes dont trois générations ont animé cet atelier célèbre en France et à l’étranger.
8—Dogme par lequel le pape Pie IX proclame le 8 décembre 1854 que Marie a été conçue exempte du péché originel.
9—1896-1987. Peintre, graveur et enseignant, novateur dans l’art du vitrail moderne a travaillé pour plus de 350 édifices civils et religieux en France et en Europe.
10—1876-1958. Proclamation qui affirme que «Marie, l’Immaculée Mère de Dieu toujours Vierge, à la fin du cours de sa vie terrestre, a été élevée en âme et en corps à la gloire céleste». L’Assomption est fêtée par l’Eglise le 15 août.
11—Enumération poétique des qualités spirituelles et mystiques de la Vierge Marie.
12—1861-1943.  Auteur de cartons de tapisseries et de peintures dans des églises de la région parisienne, illustrateur pour la jeunesse.

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©ACF/Paris, 2019.
Photos M. Caillon, F. de Franclieu, C. Niemkoff. Maquette Marie Beaudoin.

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